Alors que de nouveaux drames en cours d'interpellations policières surviennent en France (à Joinville le Pont et à Grasse) et que l'opinion publique s'émeut et s'interroge du traitement réservé aux personnes dont l'apparence trahit une origine étrangère et aux sans papiers, la famille d'Abou Bakari Tandia souhaite que la Justice se penche sur le volet des "destructions de preuves" et relance le dossier, en instruction silencieuse depuis 3 ans... Notre association soutient la famille dans sa quête de vérité sur les circonstances de la garde à vue qui s'est terminée par le coma et mort du jeune malien. En témoignent 2 articles parus en mai dans le Parisien édition des Hauts de Seine (Valérie Mahaut) puis dans le Point (Jean-Michel Décugis et Christophe Labbé).

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